Inconscience d'une soumise

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il y a 3 ans
Un jour que nous étions étendus avec mon Maître sur son canapé après une séance BDSM sublime où il m'avait fait grimper aux rideaux.

Nous discutions tranquillement de nos fantasmes et envies lorsque j'ai fait une bêtise sans m'en rendre compte. Alors qu'il se prenait d'affection pour moi, je lui ais avoué un de mes fantasmes les plus fous. Dans mon délire, lors d'une soirée BDSM en club il me dressait dans le donjon sous les yeux de tout le monde puis à la fin, il m'offrait complètement entravée à tous les hommes présents qui auraient envie de me baiser. Dans mes songes érotiques, il m'accompagnait du regard pendant que les hommes se succédaient sur mon corps et je prenais un pied d'enfer.

Et moi, comme une conne, je lui ai raconté tout ça alors qu'il était en pleine crise d'affection pour moi. Il l'a mal pris en considérant que j'avais envie de le tromper ou qu'il ne me satisfaisait pas, ce qui est totalement contraire à mes envies et pensées. Ce n'était qu'un délire dévoilé en confidence pas uniquement une demande au sens propre. Il s'est très énervé, m'a engueulée et on s'est disputé sévèrement.

Un gros câlin m'a permis d'apaiser sa colère, du moins en apparence. Voilà l'histoire de mon délire réalisé au Cupidon près d'Avignon.

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Nous sommes arrivés vers 22 heures à la soirée BDSM, sous mon grand manteau je ne portais que mes sous-vêtements en cuir avec un soutien-gorge percé en son centre puis mes cuissardes et mon collier de soumise. A peine l'entrée passée, nous nous sommes assis sur un des canapés encore libres. De sa grosse valise à roulette, il a extrait un bâillon boule en bois, qu'il m'a immédiatement posé avec un bandeau en cuir souple très bien fait parce qu'il occulte bien le vue en enveloppant presque une partie du visage.

Conduite à l'aveugle à l'une de colonne d'exposition surélevée. A l'aveugle, je me suis mise à danser très excitée mais un peu honteuse de savoir que j'étais exposée aux regards gourmands. Un bon moment plus tard, il est venu me faire boire un whisky coca sans me permettre de descendre ni oublier de me remettre le bâillon. Il a profité de sa venue pour me poser des bracelets aux poignets et aux chevilles avant d'écrire quelque chose sur mon dos. A cet instant, mes neurones de masochiste s'enflammèrent, il allait sans doute se décider à jouer.

Quand il est venu me chercher, même à l'aveugle, j'ai compris qu'il me conduisait au donjon qui se trouve tout au fond de la boite. Avant même que les hostilités ne commencent, mon sexe devait être trempé tellement j'étais excitée. Il m'a rapidement entravée debout puis m'a retiré mes sous-vêtements. Tous les pores de ma peau devenaient des capteurs, je sentais même les petits courants d'air des personnes se déplaçant près de moi.

Ses doigts entreprirent de martyriser mes tétons gourmands, hummmm, prélude aux jeux BDSM que j'adore car ils me font gripper très rapidement. Il me posa ensuite une barre d'écartement aux chevilles, m'obligeant ainsi à dévoiler mon intimité, (sourire) il accrocha des pinces lestées un peu douloureuses à mes grandes lèvres. A cet instant, je me suis plus à espérer sans trop y croire, que le jeu ne durerait pas trop longtemps, si j'avais su...

Mes tétons furent eux aussi pincés et lestés, mon gémissement fut récompensé par une claque relativement appuyées sur les fesses qui me fit bouger et agita les poids. AAAAA

D'une main ferme, il tira mon visage à lui pour murmurer à mon oreille une simple phrase qui généra en moi une sourde excitation certes mais aussi de la peur.

  • Te souviens-tu de ce que tu m'as dit le week-end dernier ? Tu veux dérouiller devant tout le monde et te faire baiser en série ? Tu vas être servie.

Des les premiers coups de martinet, j'ai compris qu'il gardait un peu de colère en mémoire, même s'ils étaient retenus pour la monter en douleur, ce soir j'allais déguster et ce serait surement une drôle de soirée. La totalité de mon corps a été rougi par les lanières du martinet, il y allait de bon cœur, chacun de mes mouvements réflexes se transmettaient aux pinces lestées.

Le corps en feu, je commençais à décoller tout en espérant que la séance de fouet ne serait pas aussi longue. Il n'en fut rien, mon Maître ce soir avait décidé de prendre son temps. Proche du subespace, je m'abandonnais aux douleurs/plaisirs relativement puissantes, sans savoir qu'il avait écrit sur mon dos : « fille à baiser à la chaîne à minuit pile ». Ca, je ne l'ai su que plus tard....

Lorsqu'il a cessé de me fouetter, plusieurs mains masculines me touchèrent. La chatte et le cerveau en ébullition, je n'ai eu aucun geste de recul, bien au contraire. Cambrée, le ventre en avant à la recherche du plaisir, je m'offrais à une main salutaire inconnue qui enfin me caressait. La jouissance est arrivée presque aussitôt, mon dieu que c'était bon. Mon Maître a du la voir car c'est à cet instant qu'il m'a retiré les pinces des seins sans précaution. Ce fut dur et douloureux, l'effet de la jouissance m'a permis de supporter plus facilement cette étape, mais cette dernière a été quasiment castrée. GRRRR

Pour mes lèvres intimes, j'ai crié dans mon bâillon quand il les a retirées, mes jambes tremblaient et si je n'avais pas été entravée, je crois que je me serais écroulée. Décrochée et portée sur une espèce de table matelassée, je me suis retrouvée couchée sur le dos jambes maintenue en l'air par je ne sais qui avec le sexe offert.

Presque immédiatement j'ai senti cotre mon sexe une verge dure. J'allais vraiment passer à la casserole et cela devant tout le monde. Entre les fantasmes et la réalité, il y a un monde justement, j'étais blême et savait que mon Maître ne céderait pas mais en même temps, cette expérience.....

Le premier mec qui m'a sautée était un rapide, sa verge ne m'a pas assez chauffée sur le plan cérébral pour que j'ai envie du deuxième homme qui est arrivé aussitôt après. Il m'a labourée au sens propre du terme mais je me suis abandonnée à mon sort et au plaisir je l'avoue.

Si bien que le troisième homme était pas mal non plus, bien que je commençais à fatiguer un peu. J'ai détesté le suivant parce qu'en plus il avait la prétention de vouloir me faire jouir de sa « grosse queue » tout en me pinçant les seins qui se seraient bien passé de pinces digitales d'enfoiré. J'ai bien essayée de fuir, mais je n'ai pu le faire, plusieurs mains salutaires (salutaires mon cul), m'ont maintenue pour ne pas que je tombe !!!!!! Le pire restait à venir.

Les jambes totalement tirées vers l'arrière, mon cul est devenue leur cible. Si j'aime bien la sodomie, présentement, j'avais eu mon compte de plaisir mais ils n'en avaient que faire. Je pense savoir maintenant ce que l'on doit ressentir quand on se fait malmener.

Là, ce n'était pas une contrainte sexuelle au sens propre du terme puis que mon Maître ne faisait que réaliser un de mes délires, ce qui ne m'a pas empêchée de le détester. Trois hommes ont essayé de m'enculer, deux seulement y sont parvenus, mais il faut dire que je n'ai rien fait pour aider celui qui avait des difficultés à jouer le bélier.

Il y a des moments où je n'étais plus moi-même, je n'étais dans ma tête plus qu'un corps, un cul que l'on utilise et qui s'échauffe.

Libérée et ramenée, pour ne pas dire presque portée au bar, je me suis affalée sur un canapé. Quand il a enfin retiré mon bandeau et mon bâillon j'ai pu voir la foule autour de nous en agitant mes mâchoires comme pour vérifier en souffrant un max, qu'elles fonctionnaient encore. Ne pas savoir qui avait assisté au spectacle ou qui m'était passé dessus, me titillait. Plusieurs hommes me souriaient mais trop par rapport au nombre qui m'ont baisée.

Le whisky coca que l'on m'a tendu n'est pas resté longtemps dans son verre, j'avais une soif monstrueuse et besoin d'un remontant. Mon Maître dans sa grande mansuétude a accepté d'aller m'en chercher un autre mais ce ne fut pas gratuit. J'ai du le boire assise par terre entre ses jambes quand je n'officiais pas de la bouche pour le « remercier » de m'avoir faite baiser en série. Il y a des moments où l'on aime son Maître et des moments où un le déteste.

En confidence et après quelques jours, j'avoue que cela ne m'a pas totalement déplu, mais je ne le lui dirai pas. Disons que je me contente de le publier......

Aline

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